Comité scientifique



Le Comité Scientifique de la FECRIS est composé de 2 pôles distincts

  • Un pôle francophone
  • Un pôle anglophone

Les deux pôles rapportent au Président, actuellement  Jean-Pierre Jougla.

Il est composé de 10 membres au plus, cependant il peut faire ponctuellement appel à des experts extérieurs au Comité, qui traitent de thèmes spécifiques.

Il est un think-tank traitant de thèmes particuliers et garantissant l’authenticité des écrits de ses membres.

·         Travaux  des membres du Comité Scientifique:

Lien vers le livre « Escaping Utopia » de Janja Lalich et Karla Mc Laren »: CoverSynopsis

 


Le respect des autres cultures et des choix individuels libres sont automatiquement identifiés comme des expressions d’ouverture et de la démocratie. Dans ce texte, l’auteur entend souligner comment un appel aux principes libéraux peut de manière incohérente être utilisé pour défendre des formes d’absolutisme. Les cultes totalitaires représentent un terrain privilégié pour mettre en évidence les apories et les paradoxes dans lesquels un défenseur du libre choix (de bonne ou de mauvaise foi) peut se retrouver lorsqu’il défend certains groupes absolutistes. Open Mind Fondation a publié « FOUCAULT’S HAIR » du Dr. LUIGI CORVAGLIA, Président du CeSAP Italie, Membre du Conseil d’Administration de la FECRIS et du Comité Scientifique.
 
Deuxième partie – TWO FRENCHMEN:
https://www.openmindsfoundation.org/foucaults-hair-part-one-two-frenchmen/
 
Première partie – CULTS AND MULTICULTURALISM:
https://www.openmindsfoundation.org/foucaults-hair-part-two-cults-multiculturalism/


Un diplôme de troisième cycle est délivré par la Faculté de Médecine Paris-Descartes depuis 2011 à l’attention des professionnels qui sont confrontés à la psycho- traumatologie des victimes de sectes et à leur accompagnement en justice. L’inscription se fait soit sur emprise.sectaire@gmail.com, soit sur audrey.adenor@parisdescartes.fr
Voir site : www.diplome-universitaire-emprise-sectaire.fr


 

Dott. LUIGI CORVAGLIA, Membre du Comité Scientifique: « BREF ESSAI SUR LA CONFUSION ENTRE EPOUSES ET CHAPEAUX » 24/08/2016

Il y a ceux qui prennent la défense des plus étranges théories pseudoscientifiques au nom du respect de  la démocratie et des valeurs anti-autoritaires,  tout ça parce que, disent-ils, il existerait une «dictature de la science» ne garantissant  pas une voix égale aux théories « alternatives ».

Il s’agit d’une théorie qui prétend  que la démocratie  devrait donner  une valeur égale à mon ignorance et à votre connaissance.

Similarly, there are those who do public defenders of the most oppressive cults in the name of a « freedom of worship » endangered by a « secularist » dictatorship.

De même, certains se font les défenseurs publics des sectes les plus oppressives au nom d’une «liberté de culte» menacée par une dictature «laïque».

D’autres encore, selon la même logique, en viennent à prendre la défense des sociétés les plus antidémocratiques et totalitaires ainsi que des pratiques offensant le plus la dignité humaine, comme la S’haria et les mutilations génitales féminines. Ils le font au nom du respect de la «culture des peuples non occidentaux», du «droit à la différence» et du refus du «colonialisme culturel »

Ceux qui font l’apologie  des cultes ne font rien d’autre que d’appliquer la logique du «droit à la différence» des grandes sociétés aux groupes construits- après tout, les cultes ne sont-ils pas de petites sociétés absolutistes? – Et ils le font en se déclarant ouverts, libéraux, démocratiques, tolérants. Le problème est que les défenseurs du droit des cultures à être différentes n’ont jamais fait partie du front progressiste. Ils adhèrent à l’ethno pluralisme, une vision qui s’oppose à l’égalitarisme, à la démocratie et, essentiellement, à la société moderne née des Lumières.

Accédez ici à l’article.

https://tarantula468.wordpress.com/2016/08/14/breve-saggio-sulla-confusione-fra-mogli-e-cappelli/


Accédez à l’article « L’apport de l’analyse de l’emprise sectaire à l’emprise dans le radicalisme » écrit par J.P. Jougla, président du comité scientifique de la FECRIS.